Auteurs :
Le Syndicat national des enseignants de médecine générale va participer à une en......
Lire la suiteAuteurs :
Le cap des 11 000 maîtres de stage des universités dépassé en 2020 ! Chaque......
Lire la suiteAuteurs :
Chères amies, chers amis, Le Syndicat national des enseignants de médecine gé......
Lire la suiteLes moyens sont multiples
L’action de chacun au quotidien pour convaincre les collègues et les responsables des UFR du bien fondé de notre action
Des demandes précises et réitérées des DMG aux doyens pour un plan de titularisation soit par intégration soit par révision des effectifs. Ces demandes doivent remonter jusqu’au ministère. Il est de la responsabilité de chaque département d’avoir une action volontariste
Des demandes précises et réitérées des DMG aux doyens pour le recrutement de maîtres de conférence associés supplémentaires pour assurer correctement la charge de travail des DMG.
Les réunions de travail avec les ministères et leurs conseillers L’information et la mise en avant de nos propositions auprès des élus de la nation : députés, sénateur, conseillers généraux et les maires Les discussions au sénat et à l’assemblée nationales avec les représentants des français, comme en décembre 2007 au sénat et en janvier 2008 à l’assemblée.
La participation à la rédaction des décrets d’application
Des actions plus dures comme la grève de novembre 2006
La communication avec les organisations syndicales professionnelles et les syndicats juniors
1958 A l’initiative du professeur Robert Debré, ses ordonnances de décembre 1958 créent les centres hospitaliers et universitaires (CHU) et les médecins à plein temps hospitalo-universitaires : la bi-appartenance est une spécificité de la médecine hospitalo-universitaire.
1982 La réforme des études médicales (loi n° 82-1098 du 23 décembre 1982) met en place l’internat comme voie d’accès exclusive aux spécialités, Mise en place du résidanat : troisième cycle avec une formation pratique hospitalière, une formation théorique et un stage de sensibilisation à la pratique de cabinet, qui dure alors vingt demi-journées.
1996 Rapport des professeurs Jean-François Mattei et Jean-Claude Etienne sur les études médicales, propose la création d’une filière de médecine générale au concours d’internat.
1997 Allongement du troisième cycle de médecine générale d’un cinquième semestre, prenant la forme d’un stage en cabinet d’omnipraticien.
Mise en place des « départements universitaires de médecine générale » (DUMG), dotés de locaux et de moyens propres. Ils sont co-dirigés par un hospitalo-universitaire et un médecin généraliste
Création (dans les textes) du stage de MG en 2° cycle en mars 1997
2000 Réorganisation du deuxième cycle des études médicales suite aux recommandations des professeurs Jean-François Mattei et Jean-Claude Etienne (arrêté du 10 octobre 2000), avec volonté de transversalité.
2002 Réforme du troisième cycle des études médicales (l’article 60 de la loi n° 2002-73 de modernisation sociale du 17 janvier 2002)
L’objectif de la réforme de 2002 est triple :
2004 Premières Epreuves Classantes Nationales Création du DES de médecine générale (JO 6 octobre 2004)
2006 SNEMG est créé le 1 avril 2006
l’option médecine générale est créée au sein de la sous section 53-01 médecine interne du conseil national des universités pour les disciplines médicales et odontologiques.
La grève de l’enseignement de la médecine générale est totale de novembre 2006 à janvier 2007
2007 Le sénateur Pr. Francis Giraud dépose un projet de loi qui s’inscrit dans la continuité de la loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002 élevant enfin la Médecine Générale au rang de spécialité médicale à l’égal des autres
2008 L’assemblée nationale vote à l’unanimité la loi précisant le cadre législatif de la filière en affirmant trois points essentiels :
Parution du décret sur la part universitaire.
17 novembre : décret créant le Commission Nationale d’Intégration chargée de statuer sur les candidatures à la titularisation des enseignants de Médecine Générale
2009 18 mars : adoption par l’Assemblée Nationale des articles 14 et 15 amendés de la loi HPST définissant la Médecine Générale et les besoins de la formation initiale.
décembre : nomination des 10 premiers enseignants titulaires de médecine générale
La construction de la filière universitaire de médecine générale avance difficilement, à très petits pas. Le SNEMG, Syndicat National des Enseignants de Médecine Générale reste extrêmement inquiet de la situation de l’enseignement de la discipline, malgré les progrès observés
69 chefs de clinique contre 3630 pour les autres spécialités :
L’absence de toute revalorisation et de tout statut pour les enseignants cliniciens ambulatoires maîtres de stage qui accueillent les étudiants et les internes en formation, dont l’enseignement et l’encadrement sont les déterminants les plus importants pour inciter à devenir Médecin Généraliste. Leur rôle pourrait pourtant être déterminant pour éviter la catastrophe démographique qui menace les territoires.
Nous sommes encore loin du compte. La loi HPST et son article 47 concernant les effectifs de la filière universitaire de médecine générale ne sont pas respectés.
Les mesures suivantes, réclamées depuis longtemps, sont à adopter rapidement pour éviter au pays la pénurie de médecins généralistes qui menace l’accès aux soins dans les territoires :
Ces mesures sont simples à mettre en œuvre et de coût limité. La filière universitaire de médecine générale dotée d’un minimum de personnels et de moyens est nécessaire à la formation de futurs médecins généralistes compétents implantés sur l’ensemble du territoire.
C’est la réponse durable et structurelle au problème de démographie médicale et d’accès aux soins pour tous les patients.
Pour le bureau du SNEMG Dr Sébastien Leruste, Président 06 13 37 30 86, s.leruste@snemg.fr
La mise en place de la FUMG avance, au prix d’un combat permanent. Grâce à la mobilisation de l’ensemble des enseignants cliniciens ambulatoires durant la grève et à la détermination des négociateurs :
Les négociations en cours portent sur :
Construire la filière universitaire de médecine générale
Promouvoir la Filière Universitaire de Médecine Générale
Mettre en place la FUMG dans ses trois champs :
Le but est d’obtenir un véritable statut d’enseignant clinicien ambulatoire avec une rémunération adaptée
Pourquoi adhérer au SNEMG La mise en place de la FUMG avance, au prix d’un combat permanent, grâce à la mobilisation de l’ensemble des enseignants cliniciens ambulatoires (ECA) durant la grève et à la détermination des négociateurs :
Nos revendications restent entières et insatisfaites :
Votre soutien est indispensable, vous trouverez ci-joint le bulletin d’adhésion
Pour continuer à avancer, vos observations, informations et proposition pour nourrir la discussion nous intéressent afin de décider ensemble de la politique du SNEMG. Donnez-nous vos réactions par e-mail sur l’adresse du site du SNEMG : interro_liens_callback rubrique contact
doit constituer un objectif ancré au cœur des pratiques des professionnels et du système de santé. Aucun...
Voir le Tweetd’accompagnement médical fondé sur une approche individuelle, bienveillante, utilisant avec intelligence...
Voir le TweetLa consommation excessive d’alcool nécessite en France des mesures sociétales et une politique publique...
Voir le TweetUtilisé à des fortes posologies, il a entrainé des effets indésirables graves, avec augmentation des...
Voir le Tweet